Localiser l’azote permet de « produire plus avec moins »
Dans la Somme, des producteurs de pommes de terre pour l’usine Mousline, membres du GIEE Sols vivants du Santerre, ont testé l’apport d’azote localisé. L’intérêt est triple : optimiser le développement racinaire, limiter les pertes par volatilisation ammoniacale, et réduire la quantité d’azote nécessaire.
Dans la Somme, des producteurs de pommes de terre pour l’usine Mousline, membres du GIEE Sols vivants du Santerre, ont testé l’apport d’azote localisé. L’intérêt est triple : optimiser le développement racinaire, limiter les pertes par volatilisation ammoniacale, et réduire la quantité d’azote nécessaire.
Plus on apporte d’azote, plus le rendement en matière sèche de la pomme de terre est élevé. Cette affirmation est avérée pour un apport d’azote en plein. Mais des essais d’apports localisés, menés au printemps 2025 par des producteurs Mousline membres du GIEE* Sols vivants du Santerre, dans la Somme, ont montré que ce n’était pas vrai pour cette technique.