Azote : sept unités en plus grâce au pâturage sur les couverts
Les avantages du pâturage des couverts végétaux par rapport aux destructions mécanique et chimique viennent d'être confirmés dans une récente étude*.
Les brebis remplacent le broyeur et le pulvérisateur
Le surplus d'azote disponible pour la culture suivante est de l'ordre de sept unités d'azote par hectare*. De plus, le pâturage n'induit pas un taux de levée ou de salissement différent d'un broyage ou d'une pulvérisation chimique. En conséquence, le rendement de la culture suivante n'est pas modifié. Les principaux intérêts du pâturage restent les économies de charges de mécanisation et de temps de travail liés au broyage ou à la pulvérisation. Une moindre présence des limaces et des rongeurs a également été observée.