Un nouveau cap pour la LNPN
Réunis lundi 24 novembre à Caen, les élus des Can (Chambres d'agriculture de Normandie) ont longuement débattu du futur de la LNPN, en présence du délégué interministériel au développement de la vallée de la Seine, Serge Castel. Deux motions sur la taxe carbone aux frontières et les prairies temporaires ont également été déposées.
Réunis lundi 24 novembre à Caen, les élus des Can (Chambres d'agriculture de Normandie) ont longuement débattu du futur de la LNPN, en présence du délégué interministériel au développement de la vallée de la Seine, Serge Castel. Deux motions sur la taxe carbone aux frontières et les prairies temporaires ont également été déposées.
Lundi 24 novembre à Caen, la session Can s'est tenue dans un contexte d'inquiétudes multiples : contraction des budgets publics, renégociations de la Pac, incertitudes liées aux accords commerciaux tel le Mercosur et à des tensions économiques globales. Même si la Can affiche un résultat net positif (273 000 €), elle reconnaît qu'elle va devoir "faire les mêmes choses avec moins de moyens", selon son directeur, François Descamps. Et, à tout cela s'ajoutent la taxe engrais (Macf, Mécanisme d'ajustement carbone aux frontières) effective au 1er janvier 2026 et le statut des prairies temporaires en discussion au niveau européen.