Quel mélange pour ma prairie ?
À l’occasion du programme Innov’Action initié par les Chambres d’agriculture de Normandie, un groupe d’éleveurs s’est réuni à Quincampoix, le 16 juin dernier, au sein d’une des plateformes d’essais de prairies de fauche. Objectif : connaître la meilleure alliance d’espèces à semer pour un maximum de rendement et de valeur alimentaire en conditions séchantes.
À l’occasion du programme Innov’Action initié par les Chambres d’agriculture de Normandie, un groupe d’éleveurs s’est réuni à Quincampoix, le 16 juin dernier, au sein d’une des plateformes d’essais de prairies de fauche. Objectif : connaître la meilleure alliance d’espèces à semer pour un maximum de rendement et de valeur alimentaire en conditions séchantes.
Charles Douillet, éleveur laitier sur la commune de Quincampoix (SAU de 106 ha) a accepté de prêter ses prairies aux équipes de l’IRD (Institut de recherche pour le développement) fourrage de la Chambre régionale d’agriculture afin d’y réaliser différents essais.
Trois blocs, sept mélanges
Sur ces parcelles ont été semés en trois blocs, donc trois fois, selon les mêmes conditions, les deux mélanges suisses OH 330M et OH Haverstore, le témoin dactyle-luzerne, et les quatre mélanges suivants : mélange trèfles, fétuque-luzerne, mélange brome et mélange mixte GFN.
Le précédent cultural, sur la saison 2019/2020, était un méteil non fertilisé sur un sol limoneux-argileux, dans une zone plutôt séchante.