Tracteurs
« Mon Fendt 716 Vario Gen 6 allie confort et fiabilité »
Éleveur laitier à Thérines dans l’Oise, Alexandre Campion, 36 ans, a désormais trois Fendt dans sa cour de ferme, ce qui est parfaitement adapté à son épouse et lui qui réalisent la totalité des travaux tous les deux.
Éleveur laitier à Thérines dans l’Oise, Alexandre Campion, 36 ans, a désormais trois Fendt dans sa cour de ferme, ce qui est parfaitement adapté à son épouse et lui qui réalisent la totalité des travaux tous les deux.
L’exploitation était équipée en Deutz au départ et un premier achat d’occasion, un 712 Vario, l’a convaincu de la qualité de la marque et, depuis, il rachète des Fendt, essentiellement d’occasion. Il y a six mois, il en a acheté neuf chez Agripol, concession installée il y a quelques années à Crèvecœur-le-Grand (60), un Fendt 716 Vario Gen 6, pour sa plus grande satisfaction. « J’apprécie particulièrement son confort cabine car le parcellaire de l’exploitation est assez disséminé et je circule beaucoup sur la route. Et puis je n’ai jamais eu de pannes depuis que j’ai des Fendt, c’est une marque vraiment fiable », se réjouit le jeune exploitant.
Un télescopique bis
Les 50 hectares de l’exploitation sont consacrés à la production fourragère à destination du troupeau laitier : prairies permanentes, maïs ensilage et ray-grass enrubanné. Les tracteurs assurent donc les travaux de fenaison, la manipulation des ballots et l’épandage du lisier avec une tonne dotée d’un enfouisseur à disques. « Les 160 ch de mon 716 Vario Gen 6 sont suffisants pour faucher, avec une faucheuse à l’avant et une à l’arrière, pour un travail sur 7 m de large. De même, la fourche à l’avant et le mode pédale le transforment en télescopique bis, parfait pour charger les ballots sur un plateau en plaine et de façon plus confortable. Bien entendu, le télescopique est plus adapté aux manipulations dans la cour de la ferme », reconnaît-il. En attendant, cela permet de moins utiliser ce dernier qui faisait beaucoup d’heures. Le 716 apporte également toute satisfaction pour l’enfouissement du lisier. « Le GPS était proposé et j’ai d’abord pensé que ce n’était pas un équipement pour une exploitation d’élevage comme la mienne. Au final, sur prairie, comme on ne voit pas bien là où on enfouit, le GPS permet plus de précision, c’est indéniablement une meilleure qualité de travail que je fournis et je ne pourrais plus m’en passer », assure Alexandre Campion.
Le tracteur est facile d’entretien, une simple révision annuelle par Agripol suffit et il s’avère peu gourmand. L’exploitant consomme 10,5 l/h en moyenne annuelle, tous travaux confondus. Le concessionnaire l’a bien accompagné dans le choix du modèle, de la mise en route – « ils ont pris le temps nécessaire », se souvient l’agriculteur – et l’entretien. Avant, il fallait aller à Callengeville pour avoir un concessionnaire Fendt, avec Agripol à Crèvecoeur-le-Grand, l’exploitant gagne en proximité.
Un défaut ? Le prix, élevé pour une belle mécanique, mais « à la revente, on récupère une partie de la mise et cela s’avère intéressant pour un engin aussi fiable. C’est le premier achat qui est un peu difficile à financer », conclut l’éleveur laitier en souriant.•