Adapter le labour à la flore la plus problématique de la parcelle
Pour utiliser le labour à bon escient et obtenir un résultat satisfaisant, le type de labour à effectuer doit être réfléchi en fonction de la flore majeure à gérer et de ses caractéristiques intrinsèques.
Pour utiliser le labour à bon escient et obtenir un résultat satisfaisant, le type de labour à effectuer doit être réfléchi en fonction de la flore majeure à gérer et de ses caractéristiques intrinsèques.
« Labourer est un vrai métier. Il faut pratiquer pour savoir régler correctement l’outil. Le labour doit être régulier sans laisser percevoir de nuances dans les reliefs de surface », indique Frédéric Berhaut.
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Julie Guichon
Le labour est incontournable en agriculture biologique ou dans des systèmes conventionnels avec un moindre usage des produits phytosanitaires. Il peut être réalisé en hiver avant des semis de cultures de printemps ou un peu plus tard en saison pour détruire la culture intermédiaire ou des repousses et en début d’été avant d’implanter des cultures d’automne (colza notamment). Son efficacité est visible dès la première utilisation et permet de s’affranchir des multiples passages de déchaumage dont le résultat n’est pas toujours satisfaisant.
