Aller au contenu principal

Biocontrôle : les Vingt-Sept divisés sur la nécessité d'une législation européenne

  

Pour ou contre l'introduction d'une législation européenne encadrant la mise sur le marché d’organismes invertébrés (insectes, champignons…) comme agents de biocontrôle ? Les ministres de l’Agriculture de l’UE hésitent. Lors d’une discussion le 25 avril à l’occasion de leur réunion à Luxembourg, une majorité s’est exprimée en faveur d’une harmonisation européenne, mais avec des nuances.

Parmi les plus favorables, la France, qui y voit un « réel intérêt » pour éviter un travail redondant des différentes agences nationales d’évaluation. Mais pour les Pays-Bas, au contraire, un règlement européen ajouterait surtout une charge administrative et pourrait même freiner l’innovation. D’autres s’inquiètent aussi des risques de propagation incontrôlée de ces organismes dans l’environnement. La Commission européenne, elle, ne pousse pas pour lancer une législation : « À l’échelon national ou régional, il est possible de faciliter les choses sans agir au niveau européen », constate la commissaire européenne à la Santé Stella Kyriakides. Dans l’UE, 14 États membres disposent d'une législation nationale pour autoriser ces méthodes de biocontrôle et cinq les restreignent, voire les interdisent. •

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Union agricole

Les plus lus

De g. à d. : Céline Collet, Gaëlle Guyomard, Jean-François Chauveau, Gilles Picard, Guillaume Burel, Denis Letellier, Vincent Leborgne sont prêts à accueillir tout le monde le 16 mai à Beuzevillette.
L'édition MécaLive Ouest 2024 le 16 mai à Beuzevillette

Un programme riche et varié d'ateliers attend les visiteurs tandis que plus de 80 exposants, 70 marques de matériels et des…

Faner le plus précocement possible pour atteindre les 30-35 % de matière sèche en 48 heures.
Ensilage d’herbe : privilégier le fourrage à plat pour 35 % de MS

Avec une organisation de chantier différente, on peut en 48 heures récolter de bons fourrages. Explication.

Reynald Fréger, président de la CGB 76
« Avoir les mêmes moyens de production que nos collègues européens »

Le président de la Confédération générale des planteurs de betteraves de la Seine-Maritime (CGB 76), Reynald Fréger, demande…

Hervé Morin, président de la Région Normandie, et Clotilde Eudier, vice-présidente de la Région en charge de l'agriculture, ont été accueillis chez Romain Madeleine, éleveur au Molay-Littry pour présenter le plan, en présence de Nicolas Dumesnil (tout à gauche), président d'Interbev Normandie, et du maire, Guillaume Bertier (au micro).
La Normandie à la reconquête de l'élevage bovin

C'est sur l'exploitation de Romain Madeleine, éleveur installé au Molay-Littry (Calvados) que la Région Normandie a lancé son…

Damien Léger, exploitant agricole installé à Ymare, a bénéficié de l'aide en 2023.
Une aide pour l'achat de matériels agricoles

Investir dans du matériel agricole peut parfois s'avérer coûteux. Pour vous aider à franchir le pas, l'Agence de l'eau Seine-…

Le service chantier complet permet d'avoir un salarié qui connaît parfaitement son matériel et ses réglages, qui est à l'aise avec les nouvelles technologies.
Délégation du travail : quels bénéfices pour l'exploitant ?

Durant la journée MécaLive, qui se déroulera le 16 mai à Beuzevillette, l'un des ateliers portera sur la délégation de travail…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 300 €/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site L'Union agricole
Consultez le journal L'Union agricole au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters du journal L'Union agricole